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En Afghanistan, « la communauté humanitaire ne peut être le seul acteur qui aide la population »

Plus de la moitié des Afghans ont besoin d’aide humanitaire dans un pays où le système de santé s’est effondré il y a un an, après l’arrivée au pouvoir de l’Émirat islamique d’Afghanistan (EIA). Un changement de gouvernance qui a également modifié les conditions de travail des ONG sur le terrain. Entretien avec Justyna Bajer, cheffe de mission de Première Urgence Internationale à Kaboul.

« Je voulais aller en Afghanistan »

Manasi est une jeune femme de 31 ans travaillant pour Première Urgence Internationale en tant que Coordinatrice adjointe de terrain dédiée aux programmes pour la mission en Afghanistan. Elle nous livre son expérience à travers une conversation qu’elle a eue avec Jeanne Hutin, Responsable des ressources humaines au siège de l’organisation. Pour elle, partir en Afghanistan aura été une décision significative tant sur le plan personnel que professionnel.

AFGHANISTAN : Première Urgence Internationale maintient le déploiement de l’aide humanitaire auprès de la population afghane.

Les cinq derniers jours resteront dans les mémoires comme un tournant majeur dans l’histoire de l’Afghanistan et de ses 38 millions de citoyens. Le changement de pouvoir opéré le 15 août – avec l’entrée à Kaboul des forces talibanes de l’Émirat Islamique d’Afghanistan – ne doit pas détourner les décideurs politiques de la nécessité de répondre aux besoins les plus urgents de la population.

Humanitaire : l’envie d’agir depuis le terrain

Charlotte Gout travaille depuis six ans à Première Urgence Internationale. C’est l’envie de partir sur le terrain qui l’a attirée et motivée à s’engager au sein de nos équipes. Stagiaire au siège de l’ONG en 2015, elle part ensuite au Tchad en tant qu’Assistante de coordination terrain. De fil en aiguille, son parcours la mène au Nigeria, en République démocratique du Congo (RDC) et finalement en Afghanistan. Elle raconte son parcours.

Dérèglement climatique et conflits : un lien nuancé mais réel

A l’occasion de sa Semaine de la Terre, Première Urgence Internationale lance aujourd’hui une série d’articles axée sur l’environnement qui permettra de détailler les actions concrètes mises en place et les objectifs fixés pour aller plus loin dans son engagement environnemental.

Afghanistan – Mental Health and Psychosocial Support Consultant

PUI is looking for a Mental Health and Psychosocial Support Consultant in Afghanistan.

Armenia – Mental Health and Psychosocial Support Consultant

Country / Region: Armenia Start date: 19 th of April 2021 Duration: 7,5 months Source…

Afghanistan – A Health Coordinator Coach and Mentor Consultant

Country / Region: Afghanistan/Kabul Start date: ASAP Duration: 6 months Source of funding: ECHO/OFDA CONTEXT…

Exposition photographique – Afghanistan : 40 Years of Help

Du 2 au 13 octobre, Première Urgence Internationale présente une exposition photographique inédite à découvrir dans les locaux de la célèbre Polka Galerie.

« Afghanistan : 40 Years of Help » est une rétrospective photographique, qui retrace l’intervention humanitaire de nos équipes, de 1980 à aujourd’hui.

Accès à l’eau, hygiène, assainissement… Les priorités en temps d’épidémie

Première Urgence Internationale intervient de longue date dans de nombreux pays à travers le monde, aux côtés de populations en situation de crises humanitaires. La crise sanitaire mondiale actuelle replace tous les pays du monde en position d’égalité et impose partout les mêmes consignes et procédures strictes. Notamment en termes d’hygiène, accès à l’eau, et assainissement. Profitons de la Journée mondiale de l’eau, dimanche 22 mars, pour rappeler quelques bases.

Comment sont utilisés vos dons ?

Stats Chaque année, Première Urgence Internationale affecte l’essentiel de ses ressources aux programmes qu’elle déploie sur ses différents terrains d’intervention et seulement 0,2% à la recherche de fonds. Vos dons sont essentiels.

Reprendre en main son destin !

Vos dons sont les garants de notre liberté d’action. Ils nous permettent de venir en aide aux populations affectées par des crises oubliées qui ne retiennent l’attention ni des médias, ni des bailleurs de fonds institutionnels. Les sommes collectées constituent ainsi les fonds propres de l’association, lui donnant une autonomie d’action et une réactivité accrue.
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