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Première Urgence Internationale condamne l’usage excessif de la force contre les manifestants dans la bande de Gaza

Communiqué de presse Paris, 16 mai 2018 – 103 Palestiniens, dont 12 enfants, ont été…

Long format au cœur de la ville refuge de Maiduguri

Ilan Deutsch a réalisé un reportage photo au Nigeria. Il s’est rendu sur les activités de Première Urgence Internationale à Maiduguri, ville-refuge des victimes de Boko Haram. Plongez au coeur de Maiduguri avec ce photo reportage.

« Dans les missions, ce sont toutes les rencontres que je trouve toujours très marquantes »

Maxime Banchereau a 29 ans. Il est chargé des urgences pour le « service des urgences et développement opérationnel » (SUDO) de Première Urgence Internationale. Véritable vocation pour lui, il nous raconte son parcours dans l’association et ses motivations.

Sud Oubangui : « la zone connait un sous-développement chronique »

La République Démocratique du Congo (RDC) fait face à un afflux de réfugiés centrafricains depuis 2013. Au Sud Oubangui, les réfugiés ont traversé la rivière Oubangui il y a longtemps pour venir s’installer au milieu des populations congolaises. Première Urgence Internationale intervient dans le pays depuis 2001. Benoït Ralu y est responsable de projet « approche multisectorielle ». Il nous explique ce que cette approche apporte au projet.

« Il faut agir pour cette zone laissée pour compte »

La région du Ouaddai est située à l’Est du Tchad, à la frontière avec le Soudan. Région reculée et oubliée de tous, de nombreux services de base sont manquants. Première Urgence Internationale intervient dans cette zone depuis 2004. Les besoins humanitaires sont préoccupants. Moussa Sogoba, coordinateur terrain à Hadjer Hadid raconte et revient sur l’importance d’agir dans cette zone oubliée.

Les étudiants de l’université de Villetaneuse organisent une collecte pour Première Urgence Internationale

Ahmed, David et Graigy, 3 étudiants de l’Université Paris 13 à Villetaneuse, choisissent de soutenir Première Urgence Internationale, dans le cadre d’un projet tutoré qu’ils doivent réaliser pour leur DUT Gestion des Entreprises et des Administrations.

« Je voulais juste que quelqu’un me tienne la main et aide mes enfants. »

Les violences et les morts ne sont pas les seules blessures que gardent les populations atteintes par les conflits. Souvent, les traumatismes sont plus profondément ancrés en chacun. Les équipes de Première Urgence Internationale agissent en Irak afin d’essayer d’apporter un soutien psychologique et en santé mentale pour ces populations blessées.

Au Nigeria, des projets innovants pour soutenir des populations dans le besoin

Première Urgence Internationale intervient dans le quartier Bolori II à Maiduguri au Nigeria auprès des populations réfugiées et locales. En 2017, elle a lancé un projet d’aide alimentaire sous forme de cartes électroniques. Rémi Alverhne, responsable projet sécurité alimentaire nous explique les enjeux de ce projet innovant.

La situation sanitaire d’un pays en transition

Shwe Linn Htet a travaillé avec Première Urgence Internationale en tant que responsable médical au Myanmar. Il nous explique la situation sanitaire dans ce pays et ce que Première Urgence Internationale souhaite accomplir au travers de ses programmes.

Sur les chemins de l’école

Après la guerre, les violences, l’exode, retourner à l’école peut s’avérer difficile pour les enfants réfugiés syriens et leur scolarisation représente un réel enjeu. Première Urgence Internationale œuvre en Irak où 230 000 syriens résident afin d’aider ces enfants à retrouver le chemin de l’école.

Comment sont utilisés vos dons ?

Stats Chaque année, Première Urgence Internationale affecte l’essentiel de ses ressources aux programmes qu’elle déploie sur ses différents terrains d’intervention et seulement 0,2% à la recherche de fonds. Vos dons sont essentiels.

Reprendre en main son destin !

Vos dons sont les garants de notre liberté d’action. Ils nous permettent de venir en aide aux populations affectées par des crises oubliées qui ne retiennent l’attention ni des médias, ni des bailleurs de fonds institutionnels. Les sommes collectées constituent ainsi les fonds propres de l’association, lui donnant une autonomie d’action et une réactivité accrue.
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