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Une intervention coordonnée du Mali jusqu’au Burkina Faso et au Niger

Yaya Diabaté est adjoint coordinateur médical au Mali pour Première Urgence Internationale. Il explique l’évolution de la situation dans le pays ainsi que l’intervention globale et coordonnée que les équipes mettent en place au Mali, au Burkina Faso et au Niger.

Réponse d’urgence : avec les réfugiés nigérians au Cameroun

Dans le nord du Cameroun, les équipes de Première Urgence Internationale ont mis en place une assistance d’urgence pour venir en aide aux réfugiés nigérians, qui arrivent massivement depuis fin janvier. En coordination avec l’ensemble de la communauté humanitaire, les équipes participent au recensement de ces déplacés et assurent la réponse en eau, hygiène et assainissement. 

Au Liban, des réfugiés syriens dans la tempête Norma

Une violente tempête baptisée Norma a atteint le Liban, affectant particulièrement le gouvernorat du Akkar et la plaine de la Bekaa, zones de refuge pour des milliers de familles syriennes.
Première Urgence Internationale, présente au Liban depuis 1996, a pu fournir une réponse d’urgence aux populations affectées par la catastrophe naturelle.

À Bangui, améliorer l’accès aux soins grâce à la coopération entre ONG

L’accès aux soins de santé est toujours aussi difficile dans la capitale centrafricaine. Première Urgence Internationale et deux autres ONG françaises ont décidé d’unir leurs forces pour fournir les soins de santé de base à plus de 450 000 personnes. De plus, elles mettent en place un transfert progressif des compétences et des moyens aux autorités locales.

Comment sont utilisés vos dons ?

Stats Chaque année, Première Urgence Internationale affecte l’essentiel de ses ressources aux programmes qu’elle déploie sur ses différents terrains d’intervention et seulement 0,2% à la recherche de fonds. Vos dons sont essentiels.

Reprendre en main son destin !

Vos dons sont les garants de notre liberté d’action. Ils nous permettent de venir en aide aux populations affectées par des crises oubliées qui ne retiennent l’attention ni des médias, ni des bailleurs de fonds institutionnels. Les sommes collectées constituent ainsi les fonds propres de l’association, lui donnant une autonomie d’action et une réactivité accrue.
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